le laboratoire culturel du Centre National d'Études Spatiales
6 octobre 2018
L’Observatoire de l’Espace participe à Nuit Blanche 2018
- Publié le 10/09/2018
La plasticienne Théodora Barat a imaginé Phase D, une œuvre monumentale éphémère dont la construction tout au long de la soirée constitue une des étapes du parcours officiel de la manifestation artistique parisienne.
Nuit Blanche est, depuis bientôt 17 ans, un rendez-vous essentiel de l'art contemporain pris dans sa capacité d'interaction avec la ville. Les œuvres du parcours se déploient en plein air ou dans les espaces d'institutions ouverts pour l'occasion à un public libre de déambuler tout au long de la nuit. Imaginée par le commissaire d'exposition indépendant Gaël Charbau, l'édition 2018 se compose de quatre constellations figurant quatre quartiers parisiens : les Invalides, l’île Saint-Louis, la Villette et la Porte Dorée.
Au sein de la constellation de l'île Saint-Louis et sur invitation de Gaël Charbau, l’Observatoire de l’Espace présente l’œuvre de Théodora Barat intitulée Phase D, conçue dans le cadre d’un appel à projets. Cette installation publique sera composée d’une sculpture monumentale élaborée à partir de pièces d'archives et de documents patrimoniaux ayant trait aux moyens de télécommunication entre la Terre et les engins spatiaux. L'œuvre tire son nom de l'étape de construction des programmes spatiaux et sa mise en œuvre sur le parvis du Cnes proposera au public de vivre l'effervescence d'un chantier spatial. À cette fin, le montage de l’installation se produira en trois actes d'une heure et demi chacun, entrecoupés d'entractes et se déroulant dans deux ambiances lumineuses différentes. Celle des actes se référera plutôt à l'activité d'un chantier (spots, boule chinoise, arc à souder,..) tandis que les entractes feront l'objet d'un éclairage plus focalisé inspiré de l'atmosphère des pas de tir d'engins spatiaux. Une équipe de construction à laquelle se joindra l'artiste commencera le montage de l’œuvre à 19h pour terminer à minuit et demi. La sculpture restera en place jusqu'au lendemain matin dans sa forme achevée de 5 mètres de haut et de large pour 11 mètres de long .
Théodora Barat poursuit avec Phase D un travail engagé depuis 2015 autour de la notion d' « esthétisme de nécessité ». La structure – qui achevée fera douze mètres de long pour cinq de large et de hauteur – se fonde sur un vocabulaire formel et graphique à même de réactiver la place de l'aventure spatiale dans l'imaginaire collectif. L'enjeu final de Phase D est d’explorer la manière dont les êtres humains construisent de multiples liaisons avec l’Espace.
Au sein de la constellation de l'île Saint-Louis et sur invitation de Gaël Charbau, l’Observatoire de l’Espace présente l’œuvre de Théodora Barat intitulée Phase D, conçue dans le cadre d’un appel à projets. Cette installation publique sera composée d’une sculpture monumentale élaborée à partir de pièces d'archives et de documents patrimoniaux ayant trait aux moyens de télécommunication entre la Terre et les engins spatiaux. L'œuvre tire son nom de l'étape de construction des programmes spatiaux et sa mise en œuvre sur le parvis du Cnes proposera au public de vivre l'effervescence d'un chantier spatial. À cette fin, le montage de l’installation se produira en trois actes d'une heure et demi chacun, entrecoupés d'entractes et se déroulant dans deux ambiances lumineuses différentes. Celle des actes se référera plutôt à l'activité d'un chantier (spots, boule chinoise, arc à souder,..) tandis que les entractes feront l'objet d'un éclairage plus focalisé inspiré de l'atmosphère des pas de tir d'engins spatiaux. Une équipe de construction à laquelle se joindra l'artiste commencera le montage de l’œuvre à 19h pour terminer à minuit et demi. La sculpture restera en place jusqu'au lendemain matin dans sa forme achevée de 5 mètres de haut et de large pour 11 mètres de long .
Théodora Barat poursuit avec Phase D un travail engagé depuis 2015 autour de la notion d' « esthétisme de nécessité ». La structure – qui achevée fera douze mètres de long pour cinq de large et de hauteur – se fonde sur un vocabulaire formel et graphique à même de réactiver la place de l'aventure spatiale dans l'imaginaire collectif. L'enjeu final de Phase D est d’explorer la manière dont les êtres humains construisent de multiples liaisons avec l’Espace.
Théodora Barat
Artiste résidente de l’Observatoire de l’Espace du CNES entre 2015 et 2016, Théodora Barat y a mené une réflexion plastique autour des formes construites par l'ingénierie spatiale, formulée à partir d’archives des programmes spatiaux. Son œuvre sculpturale Phase D prolonge ce questionnement artistique de structures dont l’aspect est déterminé par leur fonction même. Au-delà d’un « esthétisme de nécessité », elle souhaite dégager une sorte de « charte esthétique » des programmes spatiaux depuis leur commencement et de définir leur évolution formelle jusqu’à nos jours.
Formée au Fresnoy – Studio National des Arts Contemporains, à l’École des Beaux-arts de Nantes et à la Metropolitan Manchester University, Théodora Barat développe un travail comme un « terrain », où film, sculpture et installation s’entremêlent, apportant narration à l’un, volume à l’autre. Lauréate du Prix Audi Talents – Art Contemporain en 2016, elle a récemment exposé ses œuvres à la Friche de la Belle de Mai (Marseille), la Villa Médicis (Rome) et Mains d’Œuvres (Saint-Ouen).
Infos pratiques
Phase D de Théodora Barat
Samedi 6 octobre 2018
De 19h à 7h
Acte I : 19h
Acte II : 21h
Acte III : 23h
Adresse
Centre National d’Etudes
Spatiales 2, place Maurice Quentin - 75001 Paris
Métro-RER : Châtelet-Les Halles (Sortie Place Carrée – Escalier Pont Neuf)
Bus : Rivoli-Pont Neuf, Bus 21 – 72 – 81 – 69 – 76
En accès libre
Plus d'information sur >> quefaire.paris.fr <<
Les partenaires de Phase D
Nuit blanche
Depuis 2002, la Ville de Paris organise Nuit Blanche, chaque premier samedi d'octobre. Il s'agit de proposer un grand événement, populaire et festif, centré sur l'installation d'œuvres d'art dans l'espace public ou dans des bâtiments parisiens à découvrir ou redécouvrir. Chaque année, cette manifestation gratuite, destinée à tous, accueille près d’un million de visiteurs. Elle se décline également à l'échelon métropolitain. Le succès rencontré à Paris par Nuit Blanche depuis sa création en 2002, a conduit plusieurs capitales et grandes villes en Europe, mais aussi dans le monde, à organiser leur propre Nuit Blanche sur le modèle parisien : de Bruxelles à Kyoto, de Melbourne à Taipei, et pour la première fois cette année à Houston, près d’une trentaine de villes organisent aujourd’hui cet événement.
Plus d’informations sur >> paris.fr <<
Depuis 2002, la Ville de Paris organise Nuit Blanche, chaque premier samedi d'octobre. Il s'agit de proposer un grand événement, populaire et festif, centré sur l'installation d'œuvres d'art dans l'espace public ou dans des bâtiments parisiens à découvrir ou redécouvrir. Chaque année, cette manifestation gratuite, destinée à tous, accueille près d’un million de visiteurs. Elle se décline également à l'échelon métropolitain. Le succès rencontré à Paris par Nuit Blanche depuis sa création en 2002, a conduit plusieurs capitales et grandes villes en Europe, mais aussi dans le monde, à organiser leur propre Nuit Blanche sur le modèle parisien : de Bruxelles à Kyoto, de Melbourne à Taipei, et pour la première fois cette année à Houston, près d’une trentaine de villes organisent aujourd’hui cet événement.
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CASDEN Banque Populaire
Créée à l’origine par des enseignants, la CASDEN Banque Populaire est la banque coopérative de toute la Fonction publique. Elle propose à plus d’1,7 million de Sociétaires une offre d’épargne, de crédits et de caution. Elle a noué un partenariat avec les Banques Populaires pour apporter un service bancaire complet et de proximité aux meilleures conditions. Dans l’Enseignement Supérieur, la Recherche et la Culture, un réseau d’animatrices régionales accompagne les personnels des Universités, Grandes Ecoles et Organismes de Recherche. La CASDEN Banque Populaire a développé ses relations avec ces établissements pour favoriser la construction de projets qui participent à la vie des personnels et à la diffusion de la culture scientifique. Sa participation au Festival Sidération illustre parfaitement sa collaboration avec l'Observatoire de l'Espace du CNES. Plus d’informations sur casden.fr
Plus d’informations sur >> casden.fr <<
Créée à l’origine par des enseignants, la CASDEN Banque Populaire est la banque coopérative de toute la Fonction publique. Elle propose à plus d’1,7 million de Sociétaires une offre d’épargne, de crédits et de caution. Elle a noué un partenariat avec les Banques Populaires pour apporter un service bancaire complet et de proximité aux meilleures conditions. Dans l’Enseignement Supérieur, la Recherche et la Culture, un réseau d’animatrices régionales accompagne les personnels des Universités, Grandes Ecoles et Organismes de Recherche. La CASDEN Banque Populaire a développé ses relations avec ces établissements pour favoriser la construction de projets qui participent à la vie des personnels et à la diffusion de la culture scientifique. Sa participation au Festival Sidération illustre parfaitement sa collaboration avec l'Observatoire de l'Espace du CNES. Plus d’informations sur casden.fr
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Artpress
Créée en 1972, artpress est une revue mensuelle d’information et de réflexion sur la création contemporaine. Acteur et témoin engagé de la création d’aujourd’hui, elle a pour vocation de couvrir l’ensemble de la scène artistique mondiale. Bilingue (français/anglais) depuis 1992, artpress propose à ses lecteurs une approche éditoriale unique : lier les différentes formes de la création contemporaine – arts plastiques, littérature, photo, vidéo, cinéma, arts électroniques, architecture, danse, théâtre, musique, … – entre elles et les mettre en perspective. Chaque mois, des articles de fond analysent les grands événements artistiques, les phénomènes culturels de notre époque, ainsi que les courants de pensée émergents. Des dossiers présentent des scènes artistiques à travers le monde, des interviews permettent de rencontrer créateurs, conservateurs et marchands. Des comptes rendus d’expositions et chroniques thématiques enrichissent également chaque numéro. La revue est en vente en kiosque le 21 de chaque mois.
Plus d’informations sur >> artpress.com <<
Créée en 1972, artpress est une revue mensuelle d’information et de réflexion sur la création contemporaine. Acteur et témoin engagé de la création d’aujourd’hui, elle a pour vocation de couvrir l’ensemble de la scène artistique mondiale. Bilingue (français/anglais) depuis 1992, artpress propose à ses lecteurs une approche éditoriale unique : lier les différentes formes de la création contemporaine – arts plastiques, littérature, photo, vidéo, cinéma, arts électroniques, architecture, danse, théâtre, musique, … – entre elles et les mettre en perspective. Chaque mois, des articles de fond analysent les grands événements artistiques, les phénomènes culturels de notre époque, ainsi que les courants de pensée émergents. Des dossiers présentent des scènes artistiques à travers le monde, des interviews permettent de rencontrer créateurs, conservateurs et marchands. Des comptes rendus d’expositions et chroniques thématiques enrichissent également chaque numéro. La revue est en vente en kiosque le 21 de chaque mois.
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ArtsHebdoMedias
Créé en 2009, ArtsHebdoMédias est un site d’information dédié à l’actualité d’artistes vivants de tous horizons. Initiatrice en 2012 du premier magazine d’art à lire exclusivement sur tablette numérique, via une application spécifique, sa rédaction a exploré par ce biais une quinzaine de thématiques originales, parmi lesquelles la place de l’olfaction ou du son dans la création contemporaine, le Mobile Art, les rapports Arts & Sciences ou encore ceux entretenus par les artistes d’aujourd’hui avec la photographie et la céramique. Aujourd’hui, ces publications hors-séries sont désormais disponibles sur clé USB.
Plus d’informations sur >> artshebdomedias.com <<
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Les intervenants techniques de Phase D
Force Pure / Constructions
FP/C réunit différents savoirs-faire, outils et expériences du design et de la construction.
FP/C voyage sans cesse entre le "bon-sens" de la mise en oeuvre et la sensibilité de la forme.
FP/C s'adresse à toutes les formes de conception de l'espace : arts, artisanat, design, architecture, urbanisme, paysage.
FP/C s'exerce à toutes les échelles : objet, mobilier, mobilier urbain, aménagements intérieur et extérieur, scénographie, installation.
FP/C accompagne les projets depuis l'étude, par l'esquisse puis le dessin technique, avec la réalisation de prototypes, par le conseil et avec l'expertise de la matière et de ses transformations.
FP/C privilégie les filières et les méthodes attentives à la traçabilité, à la proximité et à l'économie énergétique des ressources
Plus d’informations sur >> la page Facebook de Force Pure/Constructions <<
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Devier
Le négociant en acier de construction, DEVIER Le savoir fer, basé à Houiles dans les Yvelines, est le partenaire des artisans franciliens depuis plus de 60 ans. Poutrelles, fers, tôles, tubes, découpe de profilé ou de tôle, enlèvement immédiat ou livraison rapide ; notre stock maîtrisé associé à un service personnalisé de qualité permet à la team DEVIER de vous accompagner dans tous vos projets de construction métallique.
Plus d’informations sur >> devier.fr <<
Le négociant en acier de construction, DEVIER Le savoir fer, basé à Houiles dans les Yvelines, est le partenaire des artisans franciliens depuis plus de 60 ans. Poutrelles, fers, tôles, tubes, découpe de profilé ou de tôle, enlèvement immédiat ou livraison rapide ; notre stock maîtrisé associé à un service personnalisé de qualité permet à la team DEVIER de vous accompagner dans tous vos projets de construction métallique.
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