Benoît Pype en résidence de création
L'artiste réalisera une œuvre autour de l’habitat spatial comme lieu de nos projections et de nos fantasmes sur l’espace extra-terrestre.
L'artiste réalisera une œuvre autour de l’habitat spatial comme lieu de nos projections et de nos fantasmes sur l’espace extra-terrestre.
Le collectif musical de l’Observatoire de l’Espace crée en décembre, au théâtre de l’Échangeur à Bagnolet, une Revue co(s)mique dans laquelle toutes les communautés humaines et non humaines sont convoquées pour écrire à l’unisson un nouveau traité de l’Espace.
Juliette Green s’attache dans cette nouvelle résidence à examiner la question de l’habitabilité de l’Espace en s’appuyant sur un manuel d’utilisation des équipements techniques dans l’Espace.
L’Observatoire de l’Espace lance un appel aux artistes pour concevoir une œuvre qui donne une réalité plastique au sentiment contemporain de mélancolie de l’Espace. L’objet de cette consultation est de choisir l'artiste qui réalisera l’œuvre.
Date limite de réception des dossiers : 16 décembre 2024 à 16 heures
L’artiste élabore un dispositif de projection picturale inspiré des paravents Coromandel afin de représenter la vie en impesanteur à bord d’une station orbitale.
L'Observatoire de l'Espace met en avant les œuvres d'art numérique de sa collection dans une exposition produite en collaboration avec le Centre des arts (CDA) d'Enghien-les-Bains, du 18 septembre 2024 au 5 janvier 2025 au CDA d'Enghien-les-Bains.
L’Observatoire de l’Espace invite les artistes à élaborer un projet de création sur la question de l’indicible appliquée à l’expérience de l’impesanteur.
Dépôt des dossiers jusqu’au lundi 28 octobre 2024.
À travers cette résidence, l’Observatoire de l’Espace accompagne les artistes souhaitant développer un projet ancré dans l’univers spatial.
Date limite de réception des dossiers : 13 octobre 2025
Le troisième volume des expositions Avec l'Espace réunit les créations inédites de quatorze artistes. Cette manifestation se déroulera du 11 au 22 septembre 2024 au centre d'exposition FORMA à Paris 3e.
À la suite d'un premier dessin de grand format présenté en 2023 dans l'exposition Station #1, l'artiste entame une résidence de création et va s'appuyer sur les constantes perturbations générées par l'impesanteur pour cheminer entre dessin hyperréaliste et déstructuration des formes.
L'artiste met en jeu sa pratique de la photographie dans le contexte d'instabilité propre au milieu en micropesanteur.
Interpellé par les objets techniques qui sont récupérés au retour d'une mission spatiale et par la manière dont ils sont conservés et présentés, Charlie Boisson travaille à partir des formes et des matériaux de ces fragments qui ont traversé l'Espace.
Le peintre Paul Gibert et la plasticienne Mary Sue déconstruisent la nouvelle tendance qui consiste à imaginer, à l'aide d'une intelligence artificielle, l'envoi dans l'Espace d'objets du quotidien.
Victoire Thierrée entame une nouvelle résidence de création et réalise une œuvre sculpturale, intitulée Caillou, qui sera embarquée à bord d'un ballon stratosphérique pour interagir avec le milieu spatial et faire œuvre à son retour au sol.
Johan Decaix déploie dans la Zone d'art contemporain une installation qui évoque son ambition spatiale. Une exposition à découvrir du 21 mars 2024 au 17 mai 2024.
À partir des rituels qui précèdent les voyages dans l’Espace, Stephan Goldrajch imagine le parcours initiatique d’une créature confrontée à son départ de la Terre.
Clara Cimelli revisite au dessin un corpus photographique montrant l’intérieur de la Station spatiale internationale et rend compte de l’anarchie qui règne au sein de cet univers pourtant rationnel et organisé.
L’Observatoire de l’Espace invite les artistes à concevoir en impesanteur une œuvre qui s’empare de la notion de chute. L’œuvre sera élaborée lors d’un vol parabolique en Airbus zero-g puis présentée dans une exposition sur Terre. L'objet de cette consultation est de choisir l'artiste qui réalisera l’œuvre.
Date limite de réception des dossiers : 13 mai 2024
Le duo d’artistes installe dans la Zone d’art contemporain un décor au pastel qui met à l’épreuve la perception des représentations de l’Espace en transposant à une échelle monumentale des images à collectionner de satellites. L’exposition se tiendra du 18 janvier au 18 mars 2024.
Ce nouveau numéro, dans lequel interviennent dix-sept artistes et quatre critiques d’art, est indispensable pour découvrir la création contemporaine inspirée par l’Espace.
Le programme ArtSatel a l’ambition d’embarquer un dispositif de création à bord d’une capsule orbitale. Dans un premier temps, cet appel a pour objet d’évaluer l’intérêt des artistes pour cette initiative et de leur proposer de s’inscrire à une journée d’information technique et pratique.
L’Observatoire de l’Espace lance un appel aux artistes pour prendre position, à travers la création d’une œuvre, sur le processus de fétichisation des objets envoyés dans l’Espace.
L’artiste réalisera une sculpture en bois et céramique qui, en empruntant aux formes techniques de l’industrie spatiale et aux traditions ornementales, témoigne de la manière dont nous envisageons d’habiter l’Espace.
L’artiste a choisi de s’approcher du phénomène de l’extase en développant un dispositif de création qui captera la perte des repères physiques induite par l’expérience de l’impesanteur.